Paul BOULAIRE

c’est histoire de deux frĂšres un qui se prĂ©nommĂ© jean est un autre pierre. pierre est un mĂ©decin qui cherche a on ouvrir sont cabinets au havre est jean qui est avocat un bon matin une personne tocs a la port est est ce fue un vieil connĂ©sant qui leur annonça la nouvelle Marowsko est mort est a lĂšgue tout sa fortune a jean messieurs Marowsko Ă©tait le le mĂ©decin qui c’est occuper de l’accouchements de pierre. est qu’elle que jour apres il on fait un sorti a la plage du havre pour leur changer les idĂ©es est jean fait sa demande en mariage puis juste aprĂšs qu’elle(j’ai oublier sont nom) a acceptĂ© jean demande a sa maire si sa lui vas est elle luis repona que oui est qu’elle est un meme ravie est puis un jour a la brasserie pierre discuta avec une personne familiĂšre a ce lieux qui luis a dit une phrase qui la pas choquer sur le coup mais en repensais il se qui que c’est bissar qui ne se resamble bas du tout des la couleur des cheveur au yeux ou voire meme la forme de la tĂȘte est la il se rapelat d’un portrait qui Ă©tait poser sur la cheminĂ© de leur salon en ranttrain du bar elle demain a sa mĂšre si elle saver ou il se trouver le porterai elle sui repond que demain matin elle le chercha est qu’elle luis poserait sur sont bureau mais le landemain apres qui a fait sa journĂ©e dans une ville par trais loin du havre pour trouver un appartements ou il pourra instalre son cabinet puis quand il est de retour chez lui elle demanda a sa maire si elle aver trouver mes elle lui repond que elle ne la pas trouver mais jean qui au mĂȘme moment arrive dans la piĂšce lui dit que la semain derniĂšre il laver vue trainer sur sont bureau est a ce moment pierre comprit que sa mĂšre est au courants que elle avec coucher avec messieurs Marowsko et elle compris ausitot que sa mĂšre Ă©tait une infidel est un jour sa mere puis un biler pour le transatlantique en aler simple pour qu’elle puis continuera vivre sa vie sans que sont Ă©pous le dĂ©couvre est tout cette enquĂȘte est partie sur la base de la jalousie de pierre que pence que c’est un peux bisar que un presque inconnu lui legue que a jean sa fortunes